Depuis mon arrivée le : 12/02/2019 , j'ai au compteur : 22 messages, ma petite tête c'est : p schreib. Ma petite face :
, né(e) le : (march 26), fourty years old
Sujet: (f/libre) au choix Sam 16 Fév - 19:52
Prénom Ryker
pseudo au complet : c'est une Ryker (et d'ailleurs, lorsqu'elle le devint cela fut pour elle la consécration de sa chasse)date et lieu de naissance : au choix, il y a de cela vingt neuf-trente ansoccupation dans la vie : quelque chose dans le social, qui lui donne l'opportunité de gueuler, de faire des doigts d'honneur aux administrations, d'être activiste et peu ordonnée (à toi de voir) statut social : $$$ elle n'est pas matérialiste, pas avide et ne s'épanouit que dans la simplicité (ces deux-là se sont bien trouvés) mais, parfois, elle rêve d'escapade et d'une liberté peu accessible s'il fallait ne se fier qu'aux règles.situation amoureuse : elle s'ennuyait ferme avant que sa famille ne s'installe à Chicago. Cette ville-là lui offrit une belle bande d'amis mais surtout celui qui dès son adolescence rançonna son coeur pour ne plus vraiment le lui rendre. Elle est embourbée jusqu'au cou. trois qualités et trois défauts : sanguine - extravagante - dynamique - franche - rancunière - orgueilleuse - gueularde (l'exact inverse de Rusty) avatar : alycia debnam carey , jasmine tookes, jessica lowndes, margot robbie ce sont des exemples c'est au choix (avec droit de véto).groupe : au choix.
(anecdotes) Je pense qu'il ne faut surtout pas te brider. Bien entendu, évitons simplement les backgrounds drogues, grand banditisme, viol etc. Le reste est à ton entière imagination, je peux t'aider à avoir des pistes. (niveau attentes : l'avatar est assez libre, à partir du moment où il colle à la tranche d'âge. Quant à la qualité : à partir du moment où tu maîtrises ta conjugaison (surtout au présent ou au passé simple et imparfait) et que l'orthographe n'est pas complètement décimée, je ne suis pas la grammar nazi qui va s'embêter à faire des remarques (on est là pour s'améliorer). J'évolue autour des 800-1000 (voir plus) mots mais, pas de crainte, je m'adapte à mes partenaires RP. Vis à vis de la présence, un rp/semaine est apprécié (ceci dit, on a tous des impératifs personnels, un petit coucou de temps en temps via mp (je ferai de même)).
Ruston Ryker :[play] you're on my mind all you ever do is spin
extrait fiche:
Il fit la connaissance de sa femme lors d'une permission; il avait vingt huit ans et elle en avait dix sept. Le moins que l'on puisse dire, c'est que du côté de Ruston ce ne fut pas le coup de foudre immédiat. Ruston plus agé et déjà actif (à la fois sur le plan professionnel et personnel) avait d'autres chats à fouetter, il la remarqua à peine (sa famille s'était installée face aux Ryker et elle fréquentait le même lycée que la petite dernière - ce qui était largement suffisant pour dissuader l'aîné de poser le regard sur la gamine). Elle, en revanche, lui confessa qu'elle avait flashé sur lui au premier regard lancé dans sa direction et si elle s'était faite la promesse de finir par devenir madame Ryker, elle fut plutôt courtisée par le Ryker plus proche en âge (qui n'eut jamais gain de cause et finit par s'intéresser à une autre). Pendant plusieurs années, Ruston n'était qu'indifférence et pondération, il semblait clairement à peine remarquer l'existence de celle qui finirait par l'avoir à l'usure (une promesse était une promesse, qu'elle l'ait faite à elle-même ou à un tiers). Elle le vit évoluer, avec des yeux adolescents puis jeunes adultes. Le soldat avait toujours une gravité dans ses gestes et le silence qu'il gratifiait à ceux qu'il ne connaissait pas était aussi désarçonnant que fascinant. Et c'était toutes ces arcanes l'entourant qui n'avaient jamais cessé de la rapprocher de lui : putain, elle aurait aimé qu'il l'emmène au bal de promo, qu'il la raccompagne sur sa bécane, qu'elle se retrouve ne serait-ce que le temps d'une journée sous le feu de son regard et réceptacle privilégié de toute son attention. Un jour, elle eut vingt deux ans et c'est là qu'ils finirent par échanger plus de deux mots; il lui a avoué qu'il savait qu'elle avait le béguin pour lui mais que les circonstances étaient telles qu'il n'avait jamais émis la possibilité qu'il puisse se passer quoi que ce soit entre eux. L'écart d'âge était un sujet sérieux, il n'était jamais à Chicago, passait son temps à enchaîner les one night stands : il n'avait ni le temps, ni envie de s'investir dans une quelconque relation. Leur premier baiser fut un cadeau qu'il lui offrit pour l'obtention de son diplôme universitaire (sans a priori) et il fut le premier surpris à en échanger d'autres avec elle (au détour d'un couloir, dans l'habitacle de sa vielle range rover defender, des goodnight kisses anodins qu'elle subtilisait du bout de ses lèvres pleines à chaque fois qu'elle avait l'impression d'être désirable, d'avoir une fenêtre de tir) jusqu'à ce que le "casual"(le sexe sporadique au gré des perm') devienne "sérieux" (officialisation auprès des familles) et qu'il fasse sa demande un an après le premier baiser ( sept ans auparavant). Il prit la décision de quitter l'armée à cette époque et les événements qui suivirent (l'embuscade, la perte d'un nombre considérable d'hommes il y a de cela pratiquement six années) concourent encore à rendre la vie de couple difficile. Ruston se mure dans son silence et refuse d'assombrir l'humeur de sa femme en déballant ses incertitudes.
Depuis quelques mois, leurs difficultés à concevoir pèsent sur le couple. Ils essayent des traitements hormonaux et planifient leurs relations sexuelles, se prêtent à un jeu qui devient de plus en plus lassant. X désespère de donner une descendance à Rusty, elle sait qu'il n'attend que ça . Tous deux sont frustrés et, les disputes se multiplient, parfois pour des motifs risibles. D'un côté il y a X qui retourne la baraque avec ses cris, de l'autre Ruston redoutablement silencieux, habitué à encaisser, il est la force tranquille du couple et ce malgré la saisissante différence de carrures entre les deux. Un amoncellement de non-dits, toxique, s'installe à chaque instant passé à deux et cela rend les instants qui étaient autrefois confortables terriblement déroutants. C'est peut-être pour cette raison que Ruston trouve toujours un moyen d'occuper son temps loin d'elle. Et que la colère gonfle en X jusqu'à ce qu'elle mette à exécution toutes ses menaces : il y a des jours où elle le ‘déteste’, d’autres où elle évoque l’éventualité de « mettre les voiles ». Mais, ce sont surtout ceux où ils s’aiment, à leur façon, qui prédominent. Mais pour combien de temps encore ?