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shut the fuck up. - Candice

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MessageSujet: shut the fuck up. - Candice shut the fuck up. - Candice EmptyDim 10 Fév - 0:03

33 ans | négociatrice | phoebe tonkin | policeman
Candice Wolfswood
pseudo au complet : Un prénom tout en douceur dans le bitume ardent. Choisi dans l'espoir d'en voir naître une princesse, sans se douter que sa langue sera tordue et malhonnête. Candice. Le grain essentiel à son honneur, à sa fierté mal casée. Wolfswood, identité coulée dans la justice, sali de goudron et de cendre.   date et lieu de naissance : C'est le deux février mille neuf cent quatre-vingt-six que ses pleurs déchirèrent l'angoisse d'une salle d'hôpital. Où la couleur de sa peau se mit à rayonner sous l'inquiétude d'une mort cervicale. Où Chicago aurait pu perdre un nouveau-né, mais décida d'en faire une force magistrale. occupation dans la vie : Entre chaque demande et yeux mielleux, elle acquérait ce qu'elle désirait. Entre son ventre envieux du lunch d'un ami et ses belles paroles, elle obtenait la barre-tendre double chocolat tant convoitée. Pas étonnant que sous les feux de la peur et des menaces collatérales, ses jambes ne flanchent pas. Candice, négociatrice. Aucune prise d'otages échouée à son actif.  statut social : $$$$$  situation amoureuse : Officieusement divorcée depuis belle lurette, jamais à bout de ces émotions dévastatrices. Toujours plongée dans des coupes vermeilles ou les bras d'inconnus au nom oublié le lendemain matin. Dans un sens, elle ne peut pas en vouloir à son fils, de vouloir autant d'attention. Elle fait la même. trois qualités et trois défaults : Elle est fière et têtue. Ouverte d'esprit, mais fermée d'émotions. Elle a des rêves de grandeurs, mais la maladresse s'en prend à ses muscles. Elle est fidèle, mais instable. Elle est dynamique, mais introvertie. Forte de caractère, mais rancunière. avatar : Phoebe Tonkin groupe : Policeman


(01) Naissance singulière à Chicago. Là où la cour n’est pas plus large qu’une piscine hors-terre et que les voisins sont plus bruyants qu’un spectacle à air ouvert dans le parc adjacent au bloc appartement. Toujours couverte d’aisance, d’amour vital et d’histoires merveilleuses. Les contes, les princesses, les chevaliers et les dragons. La guerre, les soldats, leur femme oubliée et les bombes éclatées. Tout était nuance dans ce cocon familial. La différence se faisait le soir : si c’était son père ou sa mère qui s’assoyait sur le coin du matelas pour raconter un passé, ou une part d’imagination. (02) Poids lourd sur sa poitrine plate, contact humide contre son visage endormi. Le vieux chien qui ne cessait de grimper sur elle aux petites heures du matin pour qu’elle fasse de la place dans son lit beaucoup trop petit pour cette énorme bête. Mais cet animal amenait son lot de protection et d’affection. Le petit nez de l’enfant fourré dans le pelage de la bête. Elle a toujours préféré les chiens aux chats. Parce que le seul félin qu’elle a rencontré n’a jamais osé l’approcher et préférait ouvrir la bouche et cracher dans le vide que lui offrir un petit ronron.  (03) Toujours la première à se lever pour aller au tableau. Même si elle n’a jamais aimé la sensation de la craie sur cette étendu vert. Ses ongles qui s’accrochent contre le tableau, fourmillement dans ses bras. Toujours la première qui lève la main pour répondre à une question. Souvent mise de côté pour laisser la chance aux autres élèves. Intelligence qu’elle dû commencer à taire pour pouvoir être appréciée par les autres. Rapidement, elle passe pour la lécheuse de « cul d’professeurs », parce qu’elle érigeait les meilleures notes. C’est la honte qui prit la place de la fierté. Et encore aujourd’hui, elle se bat contre ce sentiment.  (04) La pluie coule sur son visage, colle ses courtes mèches contre sa mâchoire. Les vêtements trop grands pour elle qui cache son corps fragile. Les deux pieds qui sautent dans les marres de boues. Qui courent après ses amis. Le ballon qui glisse entre deux arbres. Le but, qu’elle cri, les poumons en feu, la joie dans le cœur et dans les yeux. La princesse donnait plus sa place au prince, lorsqu’on la regardait. Lorsqu’elle optait pour les figurines de superhéros aux Barbies trop belles pour ce monde. Ce petit aspect garçonnet lui colle à la peau encore aujourd’hui. (05) Ce n’était pas toujours tout en beauté. Les repas se passaient parfois dans le silence le plus complet. Les chicanes chez les adultes faisaient mal à l’ambiance. Les chicanes avec un enfant faisaient mal au cœur. Il lui arrivait de claquer sa porte jusqu’à en faire vibrer les fondations. Crier à plein poumon qu’elle n’aimait plus ses parents. Parce qu’elle ne parvenait pas à avoir une heure de plus de télévision, ou trois biscuits supplémentaires après avoir terminé son dessert. Des cris pour des imbécillités. Et dans le calme le plus total. Le cahier sur ses jambes blanches. Elle commença à négocier. Une heure de plus à l’extérieur et elle fera la vaisselle.  (06) Ils sont jeunes, malgré la sagesse dans leur regard. Ils ont du vécu, malgré leur vie courte. L’armée, les blessures, les malades imaginaires. La reconnaissance littéraire, les soins gracieux, l’amour pure. L’amour qui agresse, douloureux. L’amour sincère, l’amour imparfait. Lorsque Candice découvrit les merveilles d’un prince charmant pour elle seul, son univers se fracassa au sol. La dépendance, le désir, l’attention. Ses yeux océaniques qui longeaient son âme, qui anéantissaient ses nerfs. Elle était amoureuse. Il avait trouvé la grâce dans ses gestes sportifs. Il avait vu la beauté derrière la terre. L’amour simple. L’amour odorant. L’amour qui pince le cœur. (07)Les vêtements amples, les détours aux toilettes réguliers, les changements alimentaires. C’était un secret. Un secret pour ses parents, pour son copain. Un secret pour soi-même. Des larmes à chaque nuit, des caresses réconfortantes contre son bas-ventre. Des doutes et des craintes. Bientôt le ventre trop large. L’ampleur dans des paroles qui se serrent dans sa gorge. La vérité tombe et elle refuse d’entendre quoi que ce soit de personne. Elle voulait faire face à ses démons par elle-même. De toute manière, elle le savait bien. Dix-sept ans, c’est beaucoup trop tôt.  (08) Orion, murmure-t-elle dans la nuit, logée dans les bras de son homme. Ses lèvres qui se glissent sur son front fragile. Baiser apposer, réconfortant, guérisseur. Et ce, jusqu’à l’âge où il tourne la tête pour cesser la marque de tendresse futile. Ce baiser de bons rêves, de cauchemars chassés. Elle ne savait pas à quel point elle devait louanger ses parents. Alors qu’elle et le père se laissaient toujours noyer par la panique à la moindre occasion. Incapable de comprendre le fonctionnement d’une nouvelle vie. Même si la pauvre Candice gardait en elle une fibre maternelle naissante, protectrice. Incapable d’allaiter. Incapable de le calmer. Pourtant pas très criard. Assez calme comme enfant diront ses parents. Elle ne savait pas pourquoi elle n’y arrivait pas.  (09)  C’était psychologique. Ça commençait à lui faire mal. À raccourcir les nuits. À éveiller les doutes. L’odeur qui collait à ses vêtements. Ils n’étaient pas fort à deux. L’une tentait de garder la tête haute dans le doute personnel, l’un préféra aller boire et ruminer sur son rôle dans cette vie. L’amour s’effrite. Les cris s’élèvent. Les chicanes s’enveniment. Cinq ans à essayer. À trop forcer, trop pousser. À pleurer des je t’aime douloureux. À crier des j’te déteste libérateur. Tout se brisa. Décisions pénibles qui froissent les cœurs. Une évidence qu’elle gardera l’enfant. Une évidence qu’il pourra tout de même le voir. Quand il le veut. Car les deux amoureux se sont abandonnés dans la douleur, mais pas le mépris.  (10) L’enfant laissé derrière jusqu’à ce qu’il soit en âge d’aller à l’école. Laisser sous les soins des grands-parents. Candice pouvait seulement le voir lorsqu’elle revenait de ses cours intensifs. Ou au réveil. Elle devait réussir pour lui, pour elle. Pour le bien collectif. Pour avoir un métier qui se tient. Un métier qui met de l’avent ses compétences. Ses qualités et ses défauts. Elle devait terminer son cours pour devenir policière afin de pouvoir se spécialiser dans autre chose. Ce que son propre père ne cesse de lui dire. Devient négociatrice de crises. Alors elle laissait son nez plongé dans les bouquins. Dans les cours. Les seules défaites pour ses absences consistaient en des journées de maladie de la part d’Orion. Même avec toute la volonté au monde de réussir, voir son enfant malade la ramenant dix pieds sous terre.  (11) L’odeur de la peinture fraiche. Des rideaux dans le vent. D’une nouvelle brassée de lessive. De petit bouquet de basilic, persil et compagnie. C’était son nouveau quotidien. Dans un appartement non-loin de ses parents. Un désir d’accomplir quelque chose finalement par elle-même. De se poser. Elle continuait néanmoins d’envoyer son fils chez ses grands-parents les journées où il ne pouvait pas rester avec un ami après l’école. Le temps qu’elle termine officiellement sa formation pour être négociatrice. Formation psychologique. Formation écrite puis scénarisée. Son cœur palpitait. Elle voyait la lumière au bout des temps nuageux. La noirceur s’éclipse, sans savoir que la noirceur se bâtissait dans le cœur du petit Wolfswood.  (12) Relation sérieuse, qu’elle croyait. Un policier tout en douceur. Un policier tout en présence. Les effets personnels qui commençaient à s’abandonner dans les logements respectifs. La trace qui se laisse. Les murmures suaves. Les contacts exaltants. Peut-être trop emportée dans le moment, pilule oubliée pendant près d’une semaine. Préservatif oublié, pendant une série de minutes qui semblaient prendre une éternité. Sensation ardente. Doute sinistre. Test accomplis dans les semaines suivantes. Candice était de nouveau enceinte. Complication dans le couple qui n’était pas officiel. Ils décidèrent de se tourner le dos. Laisser la demoiselle prendre une décision. Incapable de prendre celle d’avorter. Incapable de mettre fin à une vie. Mais une marre de sang dans la douche provoqua un choque à la demoiselle. Elle venait de perdre l’enfant.  (13) Elle ne savait pas comment gérer sa propre peine. Alors que le vin devenait une nouvelle substance ingérée. Que les soirées s’éternisaient dans des bars. Qu’elle ramenait des hommes de façon régulière dans sa chambre. Histoire d’un soir. Nom optionnel. Cris étouffés. Cigarette. Une fumée nécessaire uniquement après la douche. Comme un encens qui servirait à la purifier. Son fils qui la voit noyée dans ses larmes sur la table de la cuisine. Pitoyable, blessée, arrachée à sa joie. Ça la prenait encore au ventre, au bassin. Elle voyait encore le liquide rouge qui coulait entre ses cuisses. Elle est troublée. Et elle tentait de retrouver sa force entre chaque « maman » murmuré, crié, abandonné.  (14) Les cheveux attachés, la chemise froissée, les pantalons trop court. Heureusement qu’elle était cachée dans une camionnette, casque sur les oreilles, épuisée de cette prise d’otages dans une banque. Prise trop dangereuse. Feux tirés. Otages blessés. Une demande de faire sortir les âmes malades. Les personnes âgées. Celles qui risquent la crise cardiaque. C’était toujours la première chose à viser. Après avoir tenter de connaître l’agresseur. Des questions futiles, qui ne creusent pas le mal. Mensonge dans chaque parole. Dans chaque promesse de diminution de la sentence. Manipulation stratégique. Après des heures et des heures de caféines. De cigarettes discrètes, la prise arriva à ses fins. Sans mort. Sans vol. Sans gâchis. Un peu de sang, un peu de peur, de traumatisme, mais rien contre la ville de Chicago. Le stress encouru poussa la négociatrice à manquer de sommeil pendant près d’une semaine.  (15) Il rentre moins souvent. Il manque le repas. Il n’appelle pas. Ou il ferme la porte et Candice fait face à un mur. Elle avait redouté longtemps ce moment. Dans les yeux levés, les dos tournés, sa propre absence. Elle avait craint ce moment. Dans les pardons, dans les excuses, dans les défaites. Elle l’avait réellement craint. Lorsqu’elle quitte pendant une négociation mortelle pour aller le chercher à l’école après un excès de son caractère. Mais qu’il lui marche sur les talons et fuit dans la journée. Elle en a marre de regarder son derrière de tête. De ne plus voir ses yeux bleus. De devenir une ombre, ou un simple compte en banque. De ne pas être capable de communiquer. Elle ne sait pas comment gagner la mise. Comment pouvoir à nouveau déposer un baiser sur son crâne et lui dire que tout va bien aller. (16) Elle préfère les chiens aux chats. Elle peut passer quelques jours sans se laver les cheveux et y met du shampoing sec pour passer à autre chose. Elle déteste devoir s’épiler pour bien paraitre, mais elle le fait quand même. À chaque négociation, elle passe quelques nuits complètement angoissée, troublée et elle souffre parfois de paralysie du sommeil. Elle fume. Elle aime le vin rouge. Elle pourrait passer au travers d’un gros pot de crème glacée menthe et chocolat en dix minutes. Elle préfère les vêtements confortables aux vêtements qui la « mettent en valeur ». Elle ne sait pas user de son charme. Elle préfère les chips aux bonbons. Elle a un faible pour les films romantiques, mais ne dit jamais non à un film d’horreur. Elle tente de passer deux fois par semaine aux gym en plus de ses joggings matinaux. Elle surveille rarement ce qu’elle mange. Elle ne craint pas les calories, le sucre et les glucides. Elle a l’alcool facile et rapide et devient une alcoolique ricaneuse et facilement impressionnée. Elle aime les odeurs en général. Elle aime porter les vêtements de mecs (après qu’il l’aie porté). Elle préfère l’automne à n’importe quelle autre saison. Elle trouve la Saint-Valentin franchement ridicule. Elle a un faible pour les pop-tarts aux fruits. Elle est allergique aux fruits de mers (rip les sushis). Elle a un chien qu'elle nomme Monsieur le chien (un berger australien).

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MessageSujet: Re: shut the fuck up. - Candice shut the fuck up. - Candice EmptyDim 10 Fév - 0:07

Bienvenue officiellement shut the fuck up. - Candice 3865369667
Bon courage pour ta fiche, tu me réserves un lien **
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Marlo Riggs
Marlo Riggs
doctor
Depuis mon arrivée le : 09/02/2019 , j'ai au compteur : 248 messages, ma petite tête c'est : Nina Dobrev. Ma petite face : shut the fuck up. - Candice Tumblr_inline_p0xgl9QVxN1uyanoc_250

Mon physique me vient de mes origines : tout droit de l'Amérique, avec sûrement des origines qu'elle ignore vu son teint de peau , né(e) le : 26 avril 1994 à Chicago Dans la vie je suis : médecin dans l'hôpital de Chicago. et actuellement côté coeur : c'est le vide totale, je suis ce qu'on appelle une célibataire endurcie.
mon bazzart à moi :
shut the fuck up. - Candice Tumblr_inline_pmctsfZydk1uyanoc_400

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MessageSujet: Re: shut the fuck up. - Candice shut the fuck up. - Candice EmptyDim 10 Fév - 0:33

Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta présentation. Smile
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MessageSujet: Re: shut the fuck up. - Candice shut the fuck up. - Candice EmptyDim 10 Fév - 0:45

@"Clay Hailfield" ; Avec plaisir, j'ai bien hâte de voir ce qu'on en ferra, de ce lien. ~

Merci pour l'accueil. shut the fuck up. - Candice 3865369667
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Mrs Chapman
Mrs Chapman
Depuis mon arrivée le : 04/10/2017 , j'ai au compteur : 145 messages, ma petite tête c'est : la belle Charlize Theron crée par avec talent par : @lux arterna.
Ma petite face : shut the fuck up. - Candice Tumblr_inline_ohbobwYxjv1qlt39u_500

Mon physique me vient de mes origines : américaines et suédoises , né(e) le : dix neuf mai à Chicago, elle a quatre deux ans .J'ai posé mes valises à : Neat North Side
Dans la vie je suis : le maire de Chicago et cela depuis trois ans et demi, ce n'est pas le métier le plus facile mais je compte aider ma ville. et actuellement côté coeur : je suis dans un mariage sans amour depuis plus de quinze ans avec un mari infidèle.

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MessageSujet: Re: shut the fuck up. - Candice shut the fuck up. - Candice EmptyDim 10 Fév - 9:35


OYEEE BIENVENUE !

Salut toi ! I love you
Te voilà validée shut the fuck up. - Candice 4064274580 ce métier est vraiment une pépite ! shut the fuck up. - Candice 3620619412
Je te conseille de faire toute les demandes importantes (logement, métier ...) mais ainsi que ta demande de lien !
Afin de suivre l'activité du forum, je te conseille de suivre ce sujet parce qu'il y a toutes les informations importantes.
Amuses toi bien avec nous !
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Maverick Deluca
Maverick Deluca
on fire
Depuis mon arrivée le : 09/02/2019 , j'ai au compteur : 113 messages, ma petite tête c'est : Jeremy Renner crée par avec talent par : Speedy
Ma petite face : shut the fuck up. - Candice Tumblr_inline_ntxkemC9aO1qlt39u_250

Mon physique me vient de mes origines : américaine du côté maternel et italienne du côté paternel , né(e) le : 7 janvier 1974 (45 ans) à Chicago .J'ai posé mes valises à : Lincoln Park depuis maintenant quelques années dans ma maison (#5)
Dans la vie je suis : pompier et actuellement côté coeur : célibatairement divorcé
mon bazzart à moi : shut the fuck up. - Candice Untitled-877777777

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☩ Jude Miller, ami de soirée et bon barman
☩ Ackley Miller
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MessageSujet: Re: shut the fuck up. - Candice shut the fuck up. - Candice EmptyDim 10 Fév - 19:41

Bienvenue officiellement shut the fuck up. - Candice 3580331558
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MessageSujet: Re: shut the fuck up. - Candice shut the fuck up. - Candice Empty

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