Life dealt me a bad hand and I snapped. I'm sorry. + Arjan Hysaj

42 ans | entrepreneur, lié à la mafia albanaise | joaquin phoenix | inventé | living in the city

Arjan Hysaj

pseudo au complet : arjan hysaj. un nom typiquement albanais. date et lieu de naissance : 7 janvier 1977 à peć au kosovo. occupation dans la vie : entrepreneur, il possède plusieurs concessionnaires de voitures de luxe. mais à côté, il brasse des affaires dans le trafic d'héroïne avec un clan mafieux albanais de chicago. statut social : $$$$$ situation amoureuse : célibataire. il est insaisissable depuis que son amour de jeunesse s'est terminé dans la tragédie. trois qualités et trois défaults : fidèle - honorable - déterminé - rancunier - calculateur - violent avatar : joaquin phoenix groupe : living in the city
(01) Arjan est le fils d'un médecin et d'une professeur universitaire, sa famille était respectée et confortable financièrement. Il a une petite soeur et un demi-frère qui serait beaucoup plus vieux que lui s'il n'était pas décédé. (02) Petit, Arjan était inconscient du monde qui l'entourait. Son demi-frère qu'il n'avait jamais vraiment connu était mort dans des protestations en 1981 alors qu'il avait 4 ans. Son père avait été très protecteur envers son fils après cela. Il ne voulait pas en perdre un deuxième. Ça a été au point où Arjan n'avait presque aucune des libertés des autres jeunes de son âge. (03) Il n'était encore qu'un jeune adolescent lorsqu'il a appris qu'il avait eu un demi-frère. C'était quelque chose de bête, il avait retrouvé un vieil album photo de son enfance et une photo en particulier avait retenu son attention. Derrière celle-ci il y avait deux noms, Enver et Arjan Hysah et une mentions qu'ils étaient frères. Il se doutait que si ses parents ne lui en avaient jamais parlé ce n'était pas ce jour-là qu'il changerait d'avis alors il s'est tourné vers d'autres membres de sa famille pour en apprendre plus sur lui. (04) 14 ans, seulement un an c'était écouler depuis que le secret de l'existence de son demi-frère et de son décès s'était révélé à lui. C'était comme si un mur s'était effondré, le mur qui se dressait entre lui et le monde extérieur. Sa quête de réponses par rapport à son frère lui avait fait réaliser que le monde était un endroit bien différent de ce qu'il s'était imaginé jusque-là. Ce que ses parents lui avaient laissé voir. Enver était un fils, un frère, un époux, un étudiant en ingénierie civil et il aurait été père si les choses s'étaient passées différemment en 81. Anjar avait fait ses recherches. Il voulait comprendre ce qui avait mené son frère vers son destin. Il a parlé à sa mère, sa femme, ses amis, tous ceux qui l'avaient connu. Il blâmait la police, le gouvernement yougoslave, les serbes, son père, tout le monde sauf Enver. Il avait cherché à en découvrir plus sur son frère, mais à un certain moment c'était devenu plus que ça. Anjar avait fait de la cause de son frère, la sienne, il était devenu un nationaliste albanais, un indépendantiste, un radical. Il avait 14 piges lorsqu'il a prêté son serment de loyauté à un groupuscule de militants ultra nationaliste de sa localité.(05) La première année, il n'avait rien fait réellement. Après les cours, il se rendait à une église où dans le sous-sol s'organisait toutes sortes d'activités du groupuscule. Recrutement, endoctrinement, préparations de protestations et beaucoup d'autres choses. Mais c'était encore les premiers jours pour lui, il était là pour apprendre. Il était jeune, encore impressionnable dû à son inexpérience. Ils lui ont mis plein d'idée dans la tête. Ils en faisaient un loyal soldat pour le futur. La deuxième année, il a commencé à faire le guet lorsque des membres plus seniors faisaient des coups. Ils l'utilisaient aussi pour faire du recrutement auprès de d'autres jeunes de son âge. La troisième année, il a commencé à participer activement aux activités du groupuscule que ce soit l'intimidation, le trafic de drogue pour des fins de financement ou des actes de violence contre les forces de l'ordre ou des serbes récalcitrants. La quatrième année, c'est lui qui a commencé à prendre des recrues sous ses ailes et à les rendre malléables. Déjà à ce moment-là, il était totalement dévoué à la cause et guidait d'autres vers le même cheminement qu'il avait pris quelques années plus tôt. La cinquième année une première personne est morte de blessures subies dans une attaque qu'il avait perpétrer et cette même année il a entrepris une formation militaire.(06) Son passage vers l'âge adulte avait été pour le moins mouvementé. Mais en dépit de son dévouement à sa cause et des actes commis en son nom, Arjan avait trouvé le temps de tomber amoureux. Pire, il était tombé amoureux d'une jolie serbe dont la famille avait des liens avec le gouvernement de surcroît. Ses amis auraient été les premiers à lui cracher au visage si cela s'était fait savoir... pour commencer. Après, il aurait eu des d'autres problèmes mais ça aurait été elle qui en aurait souffert le plus. Mais son affection pour elle n'avait jamais été découverte. Elle savait exactement qui il était, elle le connaissait peut-être mieux qu'il ne se connaissait lui-même. Pourtant, cela ne l'a pas empêché de se donner à lui. Leurs sentiments l'un pour l'autre étaient un mystère même pour eux. Elle aurait dû être contrariée, dégoûté, indigné des actes que lui et son groupe commettait et il aurait dû la voir comme une ennemie. Mais voilà, ils s'aimaient. (07) Il y a un peu plus de 20 ans que la guerre avait éclatée. Arjan comme bien d'autres albanais, avait répondu à l'appel de l'armée de libération du Kosovo. Il avait pris les armes. Il était certain d'être prêt, mais la violence qu'il avait connu jusque-là n'était rien comparé aux atrocités de la guerre qu'il connaîtrait. Les actes ignobles il y en avait de commis dans les deux camps. Arjan en était malade, même s'il avait lui-même son lot de sang sur les mains, ça avait toujours été ceux de ses ennemis mais là c'était ses amis et des civils albanais qui périssaient par centaines autour de lui. Mais à la fin de la guerre, il était complètement impassible même à la vue de fosses communes.(08) Victoire, victoire. Une entente avait été conclue et les forces armées serbes avaient finalement cessé d'occuper notre pays. Mais c'était à peu près là que se terminait la victoire pour Arjan et bien d'autres. Le Kosovo n'avait pas acquis son indépendance et ils étaient désormais sous administration des Nations Unis à défaut d'être sous les serbes. Une bien mince victoire pour les pertes encourues. (09) Ce fut un retour à la maison difficile pour bien des soldats, et ça c'était pour ceux qui en avaient encore une. Plusieurs n'en avaient plus ou alors elle était vide parce que leur famille avait péri. Ça n'avait pas été plus facile pour Arjan. Sa maison tenait toujours debout, mais elle était vide et abîmée. Sa famille comme beaucoup d'autres avaient été forcé de fuir la ville à un certain moment. Les semaines qui avaient suivi était un enfer. Chaque instant, chaque moment éveillé, la seule chose à laquelle il pouvait penser c'était sa famille. C'était ironique, toute son adolescence jusqu'à ce jour avait été comme une rébellion contre eux et une célébration de son indépendance. Mais à son plus bas, c'était eux qu'ils voulaient voir plus que tout en vie. C'était seulement après dix-sept jours que sa famille était revenue. Le soulage sur le visage d'Arjan, mais aussi celui de ses parents et sa soeur étaient très visible. (10) La copine d'Arjan et sa famille étaient introuvables pendant des mois. Mais éventuellement, leurs corps avaient été retrouvés pas très loin de la frontière serbe. Ils avaient été attaqués alors qu'il tentait de se rendre là-bas pour éviter justement d'être persécutés ou tués. (11) Après cette découverte, Arjan était à la dérive. Le soulagement que retrouver sa famille lui avait donné n'était plus d'actualité. Son imagination était aussi débordante et riche que morbide après la guerre et il ne pouvait imaginer qu'avec trop de réalisme ce que sa bienaimée et ses proches avaient subi avant de pousser leur dernier souffle. Leurs fantômes hantaient ses rêves autant que ses moments éveillés. Ils lui demandaient vengeance. (12) Il n'y avait plus rien pour lui à Peć. Tout à propos de sa ville natale lui rappelait la femme qui avait volé son coeur et qui maintenant ne serait jamais en mesure de lui rendre. Alors Arjan a fait ses au revoir à sa famille, surtout sa jeune soeur, et a il a pris la route sans vraiment savoir où il irait ou même s'il avait l'intention de s'arrêter.(13) Il s'était finalement poser à Elbasan bien des années plus tard. Il avait un boulot comme comptable dans un concessionnaire de voiture. La vie était plutôt pas mal, plutôt simple. Jusqu'à ce qu'il croise un type au concessionnaire qui portait une amulette au cou. Une amulette exactement comme celle d'Aleksandra, son ancienne flamme. Sa vie a pris un tournant très compliqué après cela. Ça tend à arriver lorsque vous suivez une personne jusqu'à chez elle, l’assommée, la torturée et l'écorchée vive. Tout ça en quête de réponse. Mais vous n'en recevez aucune. Pourquoi? Parce que la personne n'avait aucun lien. Vous aviez seulement voulu assouvir vos désirs et il était une cible de choix. Arjan était pris comme un con avec une scène de crime sans avoir réfléchis ou pris les mesures pour que le crime soit parfait. Les policiers trouveraient tout ce dont ils avaient besoin. Mais, il avait une dernière carte en jeu. Il avait déjà brassé des affaires dans le passé avec des mafieux basés à Elbasan. Une entente avait été passée, mais cette entente lui coûterait plus les années de service qu'il avait promis, elle lui coûterait ce qui lui restait son âme. (14) Pendant ses années de service pour le clan d'Elbasan,il s'était fait un nom. On disait de lui qu'il était en mesure d'extraire les secrets de toute personne. Impossible de lui résister. Mais cette réputation était difficile à confirmer parce que généralement lorsqu'il avait terminé la victime de ses méthodes mourait de ses blessures. La seule chose qu'elle gagnait à dire tous ses secrets était un bref répit avant la fin. Il avait monté les échelons et sans être bras droit il était un homme de confiance. Il avait été envoyé à Londres pour établir une présence là-bas et plus tard à New York. C'est là-bas qu'il avait terminé ses années de services promis pour retourner la faveur qui lui avait évité la prison. Malgré sa réputation qui le précède, il était toujours sous-estimer. Certains refusaient même de croire qu'il était qui il disait être. Il était trop calme, trop poli et son apparence trop inoffensive on aurait dit un bureaucrate. Il n'avait rien d'un mafieux albanais violent, impulsif, sauvage qu'on pouvait reconnaître comme un gangster à plus de 500 mètres. (15) Aujourd'hui, Arjan est basé à Chicago une autre grande ville américaine. Ce n'était pas New York, mais il pensait que les opportunités d'affaires n'y manqueraient pas. Il s'y est fait de nouveaux amis albanais, des trafiquants d'héroïne, de qui il a obtenu un prêt pour démarrer son entreprise avec son premier concessionnaire de voiture. Il n'est pas directement affilié à eux, mais ils sont partenaires sur bien des projets. L'époque où il se salissait les mains pour les autres est révolue, mais il avait bien d'autres choses à offrir. C'est son vaste réseau de contacts sur la côte est comme dans le vieux continent qui était d'intérêt. De nos jours, Arjan est un peu comme un négociateur et un consultant auprès de groupes criminels divers. Vous avez besoin de quelque chose? Il peut établir le contact avec la réponse à tous vos besoins. Il a une main dans plusieurs pots à biscuits. Certains pensent qu'il se montre cupide et joue avec le feu. Ils n'ont peut-être pas tort. Mais ça lui réussit. Il trouve y trouve son compte, ses clients ne se plaignent pas et... la DEA aussi. Il y a quelques mois qu'une personne en haute instance avait approché le quarantenaire albanais avec une offre. Protection et échanges d'informations bi-latérale. Si Arjan était initialement très réticent, il avait un code d'honneur strict, il s'était réchauffer à l'idée. Il était dans une position avantageuse, la DEA n'avait rien sur lui, et tant et aussi longtemps que ce serait le cas il n'aurait jamais à se plier à leurs demandes. Il serait en contrôle. Cela ne le protégeait pas du FBI ou du Chicago Police Deparment, mais la DEA c'était déjà ça de moins au cul.

THANKS

Han, sympas le choix d'avatar Wink

Bienvenueeee Life dealt me a bad hand and I snapped. I'm sorry. + Arjan Hysaj 425599079

et bon courage pour ta fiche Wink

Invité

Joaquim est si rare Life dealt me a bad hand and I snapped. I'm sorry. + Arjan Hysaj 4013213588

Bon courage et bonne chance pour ta fiche Life dealt me a bad hand and I snapped. I'm sorry. + Arjan Hysaj 1458204130

Invité

Mais bienvenue à toi très cher !
Courage pour ta fiche !

Bienvenu !
Je sens que ça va être vraiment très intéressant !
Bon courage pour ta fiche, hésites pas si tu as besoin

Bienvenue, ton personnage à l'air fortement intéressant, hâte d'en apprendre plus

Merci de votre intérêt

Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta présentation.

OYEEE BIENVENUE !

Salut toi ! I love you

Te voilà validée et enfin des nôtres !
Je te conseille de faire toute les demandes importantes (logement, métier ...) mais ainsi que ta demande de lien !
Afin de suivre l'activité du forum, je te conseille de suivre ce sujet parce qu'il y a toutes les informations importantes.
Le premier événement du forum arrive donc rendez vous dans ce sujet I love you

Amuses toi bien avec nous !

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